Lettre 43 – La disparition du village d’Anthony

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Dans ce courrier, l’écrivain Anthony Passeron nous raconte la disparition du village de son enfance, dans les hauteurs de Nice. Ici comme ailleurs, on remplace les commerces par des caméras de surveillance et les rues se vident. C’est un village satellite de la grande métropole, ou plutôt satellisé par la grande métropole. On vient ici pour être au calme et dormir en paix. La vie disparait, alors on écrit pour dire qu’un jour, ici même, elle a existé.