Description
Dans cette lettre, Raphaël Meltz s’interroge : « tout doit disparaître », cette vieille rengaine, combien de fois l’a-t-on entendue ? Tout, mais tout quoi ? Un immeuble jugé vétuste, comme si le quartier autour, lui, était en bon état ? Et ne pas faire du journalisme comme un journaliste, est-ce possible encore, aujourd’hui ? Se mettre dans un coin pas vraiment pour regarder ; simplement dire : ça me regarde.
Carte postale signée La Disparition.