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S’abonner aux lettres de La Disparition, c’est recevoir, deux fois par mois directement dans votre boîte aux lettres, un long courrier papier, journalistique et littéraire, qui raconte une disparition souhaitable ou regrettable dans notre monde : celle d’un arbre, d’un bâtiment, d’une idée… Ainsi qu’une belle carte postale et d’un nota bene qui ouvre des pistes de réflexion.

Pas de « c’était mieux avant » dans ces récits, mais un souffle qui nous interroge : sommes-nous collectivement d’accord pour que ces disparitions adviennent ? Celles des services publics, de la biodiversité, de nos espaces de liberté … Que devons-nous défendre ? Que voulons-nous voir disparaître ?

Des courriers comme autant de tentatives de réponse à ces questions. Depuis son lancement, en mars 2021, La Disparition est un média 100 % indépendant, sans publicité et imprimé en France. Il ne dépend que de ses abonné·es.

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Les prochaines lettres

La disparition du carnet de rêves

Longtemps atteinte de terreurs nocturnes, Lou Syrah a griffonné des années durant dans ses carnets de rêves les histoires formées pas la nuit. Jusqu’au jour où l’insomnie est venue frapper à sa porte. Dans cette lettre fiévreuse et drolatique, la journaliste et autrice raconte son petit périple pour retrouver ses rêves disparus du jour au lendemain. Elle nous immerge dans les récits nocturnes des Français.es étudiés pendant le confinement. Loin des mythes ou de la psychiatrie, le rêve est aussi une matière politique pour penser notre époque.

Carte postale signée Jonas Schloesing.

Les disparitions de Roberto Bolaño

Dans cette interminable lettre (la plus longue jamais écrite pour La Disparition), l’écrivain Raphaël Meltz s’adresse directement à Roberto Bolaño pour reparcourir, à ses côtés, les derniers mois de sa vie. Bolaño, malade du foie, en attente d’une greffe, est en train d’achever ce qu’il présente lui-même comme « une œuvre monstrueuse » : son dernier roman, 2666. Tombeau pour un écrivain et pour un livre devenus depuis, l’un et autre, mythiques – « nous vivons dans un désert d’ennui, un désert infini d’ennui qui commence à notre naissance et se termine à notre mort ».

Carte postale : Playboy.

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